Carbon footprint resulats 2023

Nous avons récemment calculé notre empreinte carbone pour 2023. Notre empreinte carbone est calculée annuellement en fonction de notre système de gestion du CO2 (échelle de performance CO2)

Nous cartographions nos émissions de CO2 provenant de :
– scope 1: chauffage et carburants fossiles du parc automobile,
– scope 2: électricité (bureaux mais aussi électricité pour recharger votre voiture de société)
– scope 3: voyages d’affaires (par exemple, voyages en avion, voyages en train, … autres que les voitures de société)

À partir de ces résultats, nous savons quelles activités représentent la plus grande part de nos émissions totales et où nous pouvons prendre les mesures les plus efficaces pour réduire nos émissions.

Empreinte carbone 2023

L’empreinte carbone totale de 2023 de nos six bureaux était égale à 480 tonnes de CO2. Cela correspond à l’absorption annuelle moyenne de CO2 par 20 000 arbres.

Une diminution totale de 28 tonnes de CO2 par rapport à 2022 !

Comme les années précédentes, le scope 1 (gaz et carburants fossiles du parc automobile) est le facteur le plus polluant de notre empreinte carbone totale, représentant 88 %.

Si nous examinons la répartition par catégorie, il n’y a pas eu de grandes surprises par rapport aux années précédentes. Une petite diminution de 3 % des émissions dues au chauffage a été constatée, provenant des mesures d’efficacité énergétique mises en œuvre en 2023 au siège social. Nous avons également installé des panneaux solaires à Sint-Niklaas en 2023, ce qui montre également une petite diminution des émissions totales d’électricité, bien que nous ayons ouvert deux bureaux supplémentaires en 2023 et que davantage de voitures aient commencé à se recharger à l’infrastructure de chargement de notre siège social. Les voyages d’affaires (à l’exclusion des voitures de société) ont également augmenté de 1 % en raison d’un nombre croissant de voyages en train et en avion.

Scope 1

Au total, le scope 1 est associé à des émissions de 421 tonnes de CO2. Avec une part de 94 %, le parc automobile à carburants fossiles reste la plus grande source d’émissions dans le scope 1. Au total, les émissions de CO2 associées au chauffage des différents sites de SBE correspondent à 25,5 tonnes (contre 40 tonnes en 2021) de CO2, dont Sint-Niklaas reste la plus grande part. 

Le parc automobile à carburants fossiles de SBE a causé des émissions de 395,87 tonnes de CO2 en 2023. La part du diesel continue de diminuer (de 45 % à 30 %). En 2022, nous avons constaté, pour la toute première fois depuis nos calculs, une part d’émissions des voitures diesel plus petite que celle des voitures à essence, une tendance qui se poursuit en 2023.

Les émissions totales du parc automobile à carburants fossiles ont diminué de 15 %, mais nous avons constaté une augmentation de la consommation d’essence et des émissions (en raison de l’augmentation du nombre d’employés et donc des voitures de société). Pour donner une impression plus précise des chiffres, nous examinons donc l’évolution des émissions au fil des ans par ETP pour nos comparaisons d’objectifs de réduction.

Scope 2

Au total, des émissions de 40 tonnes de CO2 peuvent être liées à la consommation d’électricité (scope 2). Ces émissions sont bien sûr principalement dues à la consommation au sein du bureau de Sint-Niklaas (44 % contre 76 % en 2022), mais le parc automobile électrique des sites belges représente déjà une part assez importante de 35 % (contre 19 % en 2022).

Par rapport à 2022, les émissions totales de CO2 du scope 2 ont augmenté de 2 tonnes (nous avons installé des panneaux solaires, mais aussi ouvert deux bureaux et augmenté le nombre de voitures électriques dans notre parc automobile). Petite note : Leaseplan ne peut pas encore montrer toutes les sessions de recharge à domicile dans le rapport de recharge, donc la part réelle du parc automobile électrique est probablement plus élevée.

Scope 3

Au total, les activités de voyages d’affaires du scope 3 sont associées à des émissions de 18 tonnes de CO2 (contre 14 tonnes en 2022). Parmi ces émissions, les voyages en avion représentent toujours la plus grande part (79 %).

Par rapport à 2022, les émissions totales de CO2 du scope 3 ont augmenté de 4 tonnes de CO2 en raison de l’augmentation des voyages en avion, mais aussi d’une augmentation de 40 % du nombre de kilomètres parcourus en train.

Objectifs de réduction

Si nous examinons ensuite nos objectifs de réduction, nous constatons, au total sur tous les scopes, une diminution de 14 % des émissions par ETP en 2023 par rapport à 2022 (2,7 tonnes de CO2 par ETP en 2022) contre 2,3 tonnes de CO2 par ETP en 2023 ! Dans le scope 1, nous avons atteint une diminution de 16 % des tonnes de CO2 par rapport à 2022. Principalement en raison de la diminution de la consommation de gaz dans notre siège social et de l’augmentation du nombre de voitures électriques dans notre parc automobile. Nous avons donc atteint notre objectif de réduction du scope 1. 

Le scope 2 (électricité) + le scope 3 (voyages d’affaires) ont eu une diminution totale de 6 % (0,299 tonne de CO2 par ETP à 0,280 tonne de CO2 par ETP), donc l’objectif fixé de 10 % n’a pas été atteint. Probablement parce que l’électricité grise que nous avons achetée (en plus de l’électricité des panneaux solaires que nous produisons) pèse encore trop lourd dans le résultat final. De plus, nous avons constaté une augmentation des voyages en avion. Nous devons examiner ici si l’objectif de 2024 est réalisable.

Réparti par scope, cela se présente comme suit : pour le scope 2, nous avons atteint une diminution de 14 % des tonnes d’émissions de CO2 par ETP par rapport à 2022. Mais dans le scope 3, nous avons eu une augmentation de 14 % des émissions de CO2 par ETP par rapport à 2022.